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6 Avr - Voiles Pro

Pour la Course Croisière de l’Edhec et la Transat BPE, les VoilesPro ne sont plus sponsorisées par un partenaire. Cette option, qui était déjà payante avant le Vendée Globe Virtuel, redevient donc payante pour ces deux courses.


Depuis plus de deux ans, nous nous battons pour rester fidèles à notre credo d’origine : vous proposer un jeu de voile performant, gratuit, simple et accessible à tous. Tenir cette promesse nous engage à trouver des financements.


Parfois, des sponsors nous soutiennent et vous en êtes les premiers bénéficiaires car ils offrent des dotations ou des options comme les Voiles Pro. C’était le cas pour le Vendée Globe Virtuel, ça ne l’est pas pour la Course –Croisière de l’Edhec. Certains joueurs achètent des options, participant ainsi au financement et à la pérennité du jeu, ils permettent par conséquent à tous d’en profiter. Qu’ils en soient ici infiniment remerciés.

Mais parfois, les courses se déroulent sans ou avec peu de sponsors.

En revanche, sur chaque course, la Course Croisière de l’Edhec est la douzième,  des hommes et des femmes travaillent sans compter pour concevoir, designer, développer, programmer, assurer la maintenance du jeu, sans parler des nombreux frais d’acquisition de données, d’hébergement des serveurs, etc …Ces charges sont fixes et récurrentes.

Il est de notre responsabilité et de notre engagement de vous proposer en permanence un divertissement gratuit comme il est de notre responsabilité de continuer à rémunérer les hommes et les femmes qui oeuvrent en permanence pour faire vivre Virtual Regatta.

Mais peut être que pour répondre à toutes les contraintes et respecter notamment l’équité sportive, devrions nous essayer une course payante, toutes options incluses pour tous lesjoueurs.

Soyez assurés que nos motivations principales sont et restent notre passion et votre divertissement. Nous faisons tout notre possible pour vous proposer en permanence les meilleures courses océaniques aux meilleures conditions.

Sincèrement vôtre,
Toute l’équipe de Virtual Regatta




05 Avr - Les hommes de mon VGV. Par lagitane


 

vous mes compagnons de route du VGV, qui m’avez côtoyée, accompagnée, surveillée, flattée, encouragée, protégée, taquinée, charmée….
 

Il y eut D. le joyeux drille. Par quel heureux hasard m’as-tu mise en amie alors que je terminais ma course et que tu commençais la tienne ? Et toi C. l’admirateur inconditionnel de lagitane. Tu t’extasiais à chaque option payante lors de la longue remontée de l’Atlantique. Ou toi E. le charmant copain. Tu prenais plaisir à communiquer avec moi.
 

A. le mystérieux. Tu as cherché à me détourner de ma route en m’invitant sur une île paradisiaque. Devrais-je le regretter ? Ou encore toi T. paternel et protecteur. Tu m’appelais Princesse et chaque lecture de mes news te procurait de petits moments de bonheur, disais-tu. Tu n’as jamais dû recevoir mon dernier message.
 

Quant à toi V. le taquin, tu m’avais mise en amie mais  à cause d’une erreur d’orthographe sur ton nom, j’ai failli ne jamais te rencontrer. Pourtant dès le départ, sans le savoir, nos routes se sont superposées. Pendant des milles et des milles, nos coques se sont frôlées, ont fini par fusionner pour se séparer à jamais. Te retrouverais-je un jour ? L. le bourru. Tu répondais au bout d’une éternité à mes messages.
 

P. le conseiller. Tu me suggérais le meilleur cap pour bien finir la course. A. l’observateur. Tu avais suivi ma course sans mot dire alors que la tienne était terminée, tu n’as pas oublié de me féliciter et c’est grâce à toi que j’ai pu écrire des news. Et J. sûr de lui. Tu m’as invité au Québec pour sabler le champagne. Aurais-su te résister ? Enfin toi M. le sourire ravageur, skipper aussi sur P., tu n’as cessé de me donner rendez-vous le 1er avril. Et bien ….tu as gagné !

Vous les hommes, vous êtes d’incorrigibles séducteurs ! Mais qu’est-ce qu’on vous aime !!!

PS : vous mes adorables marines, je vous garde aussi une place dans mon cœur.



 

31 Mar - NOSTALGIE..... NOSTALGIE..... par PENELOPE44

 

 

Avant que la ligne ne soit définitivement fermée demain, je viens faire non sans une certaine nostalgie un dernier petit tour sur le site et lire les news. Je regrette de n'être pas venue plus tôt, mais après avoir mis sac à terre j'ai retrouvé ma vie de terrienne et toutes les obligations souvent délaissées pendant mon VG.

Je tiens néanmoins à faire un clin d'oeil à LAGITANE, KAT, DORYANE et toutes les autres "marines", car je fais aussi partie des 20 % !!!

Tout d'abord, un GRAND GRAND MERCI à toute l'équipe de VIRTUAL REGATTA, qui a fait un travail énorme pour notre plus grand plaisir à tous. Je ne suis jamais intervenue dans le forum de Sébastien DESTREMAU, mais j'avais honte pour tous ces râleurs, à la moindre panne informatique qui écourtait leur sommeil.....  Ont-ils pensé une seule fois à ce qu'enduraient nos véritables marins sur l'eau ?

Parmi tous mes amis virtuels, je n'ai pas rencontré dieu soit loué de marins bougons et je tiens à rendre ici un hommage particulier à quelques-uns d'entre eux :

. Mon Anglais, rencontré dans les Canaries et que j'avais invité à prendre un whisky à mon bord (peut-être 2 ou.. 3) et qui le lendemain matin était échoué sur la côte sénégalaise ! j'ai conservé son message dans son français bien à lui : "Sacre bleu, j'ai la tête cassée, je suis sur le parc fermé, too much whiskey !!"

. Mon p'tit Suisse, avec qui j'ai longtemps navigué bord à bord, tellement collés/serrés que nous formions un catamaran (chut !!!! nous allions beaucoup plus vite). Je lui préparais une cotriade bretonne avec le produit de ma pêche avec un petit muscadet nantais bien frais et le lendemain il m'invitait pour une raclette avec du fendant (un vin du Valais que je ne connaissais pas !)

. Mon copain Titou, le Vendéen, avec qui j'ai régaté à mort pour la bouée d'arrivée, un dimanche à 4 h du matin !! il s'est fait avoir sur le dernier bord, mais nous avons fêté l'évènement sans raucune dans le chenal des Sables !

. Je n'oublie pas mon compagnon de route préféré, très pris par son travail, souvent absent, mais jamais avare de conseils et de petits mots d'encouragement, car j'étais toujours derrière ! Au final, je lui ai pris 7 h et pourtant je n'étais pas très fière de ma dernière option vers les côtes portugaises (pétole, pétole !!!)

Je ne peux pas les citer tous, mais je les remercie très sincèrement pour tous leurs messages de félicitations. Les marins ne sont pas si misogynes que l'on croit et ils ont reconnu ma victoire : j'ai terminé devant eux à la 5267ème place, en ayant loupé le départ !

Que du bonheur cette régate ! donc je reviendrai dans quatre ans (en plus j'ai révisé ma géographie et mon Anglais bien sûr !).

Merci encore à toute l'équipe que j'embrasse.
Pénélope





 

31 Mar - Mon VGV par pacenadia


 

Le Pacénadia fait partie des 20 % des skippeuses et pendant trois mois j'ai vécu à fond cette aventure. J'ai adorééééé

Moi j'ai découvert cette course virtuelle grâce à mes collègues de boulot, je me suis inscrite beaucoup plus tard, dans les 170 000éme, nous étions 6 du boulot à s'être inscrits, ce qui veux dire que pendant trois mois rires !!! nous avons travaillé au rythme des vents et marées et surtout je me suis decouvert un esprit de compétition que je croyais même pas possible ! Etant partie la dernière, pour mes collègues il était évident que j'arriverais la dernière... J'ai galéré pas mal, j'ai raté quelques weeks end, c'était l'excuse du lundi à l'embauche, "ah ben ok je suis derrière toujours derrière, mais pas de connexion ce w end alors c'est pas ma faute", beaucoup de mauvaise foi entre nous, et toujours compét, compét....

Je me suis retrouvée avec une liste d'amis inconnus assez impressionnante ! les premiers jours, j'ai pas tout compris rires je me suis même prise pour une star de la voile !!!, bon en fait c'était juste que je servais de repère pour certains. Et puis j'ai recontré des marins top du top. Un certain capitaine que je nommerais pas, et qui est devenu mon capitaine carotte (et qui est resté une carotte jusqu'au bout je ne l'ai jamais rattrapé...) et qui s'occupait de mon monocoque lorsque je pouvais pas, un marin bientôt papa d'une petite Sarah, complètement démotivé lorsque je l'ai rencontré, je l'ai reboosté, puis à son tour il m'a reboosté lorsque j'ai failli abandonner, on a fait une halte au Brésil, il voulait absolument voir les brésiliennes !!! et puis quelqu'autres, on s'envoyait des petits coucou, Justpure, un pro de la voile, m'a donné des conseils, m'a appris pleins de trucs, non c'était génialllllllllllllllllll

J'ai visité du pays, j'ai bronzé, j'ai attrapé pas mal de poissons, on sautait d'un bateau à l'autre pour le petit café du matin ou du midi, on s'invitait à manger, bien sur j'ai bu aussi pas mal de champagne, noël, 1er de l'an, c'était obligé !!!!

Et je suis arrivée dans les 40 000, j'aurais pu faire mieux...... Mais surtout je suis arrivée deuxième , devant mes collègues... Le premier étant parti tellement bien avant moi, toute façon je pouvais pas le rattraper......., mais.... surtout G et V...... coucou vous deux, je vous ai bien eus !!!!

Une marine sur Pacénadia




 

31 Mar - Une exceptionnelle aventure humaine !


 

Le 25 janvier, les albatros volaient autour de nos voiles alors que nous quittions les îles Kerguelen. Pour la plupart, nous n’avions aucune idée du périple qui nous attendait, le compteur affichait 29000 km et des poussières jusqu’aux Sables d’Olonne. Un dernier regard en arrière pour voir les manchots en rang d’oignons qui nous saluaient une dernière fois.
 
Les premiers repères pris, nous allions pouvoir réfléchir à une stratégie pour passer les bouées de manière optimale. Prises de risques payantes… ou pas… changements de voile pour trouver la meilleur vitesse et le meilleur angle possible et nous sommes déjà au Sud de l’Australie dans les 40e rugissants. Alors que les îles australes s’éloignent , on se dit que la prochaine fois que nous verrons la terre, ce sera le mythique cap Horn. Entre temps, des amitiés se lient au fil des kilomètres avalés, un conseil par-ci, une stratégie par-là.
 
Les 50e rugissants nous accueillent avec des vents de plus en plus forts, la stratégie est simple, prendre le meilleur de chaque vent et avancer toutes voiles dehors vers le cap Horn. Quelle superbe image que d’ouvrir les yeux au petit matin et de l’apercevoir au loin alors que le soleil se lève et rougit l’océan. Que du bonheur !
 
La suite s’avère plus difficile que prévue. La remontée vers l’équateur se fait avec des vents moins forts que ce que nous avions jusqu’à présent et surtout nous n’avons plus le vent dans le dos ce qui réduit considérablement la vitesse. Il n’est plus question de spi ou autre gennaker, nos meilleures armes sont le gênois et le code zéro, accessoirement le foc 2 quand les vents forcissent.
 
Les courbes de nos trajectoires se dessinent, cassées ça et là par des bords tirés pour changer de zone de vent et gagner en vitesse. La remontée vers les Sables n’est pas une partie de plaisir mais les discussions stratégiques deviennent plus fréquentes au «QG de course»  et s’affinent pour nous permettre de prendre les meilleures décisions.
 
Les délais sont tombés, nous avons gagné deux semaines de course pour rallier l’arrivée. Les calculs de moyenne à tenir débutent et plus le temps passe, plus nous sommes sereins, nous allons pouvoir rallier l’arrivée sans devoir sortir les rames pour aller plus vite.
 
Au final et trois bords tirés plus tard, nous avons enfin les Sables d’Olonne en ligne de mire. Les derniers  kilomètres défilent et la fin de la course se rapproche avec un brin de nostalgie. Toute cette aventure va se terminer… Le dernier changement de vents se fait avec une petite boule dans la gorge. Certains amis marins sont encore en mer et risquent de ne pas réussir à rallier l’arrivée dans les délais. Nos pensées vont vers eux alors que nous remontons le chenal.
 
Deux mois et un jour… C’est le temps qu’il nous aura fallu pour rallier les Sables d’Olonne. Un seul regret : ne pas avoir pris le premier départ… Une seule envie : se retrouver sur d’autres courses et ne pas rater le départ dans quatre ans !

Merci à VirtualRegatta de nous avoir fait vivre cette aventure, merci à Magic_Jojo pour tous les services rendus et les discussions stratégiques au “QG de la machine à café” et quel bonheur de terminer cette course ensemble...
Prix du café : 40 centimes. Faire 29000 km et se retrouver à l’arrivée dans un mouchoir de poche avec un ami, ça n’a pas de prix... Pour tout le reste... il y a VirtualRegatta !

stayphan



 

Déeven Beglo, ou l'art de tout faire en verlan

 

 

Ayant subi de plein fouet le blocage des inscriptions fin décembre,
et ne pouvant ainsi plus prétendre à la victoire finale, j'ai
cherché à réaliser un autre challenge. Et me voilà parti, décidé à
faire le tour du monde à l'envers... mais en partant de l'île de
Heard !
Seul problème : la validation des portes. A l'envers ça marche moins
bien ! Forcément, je ne les passe pas dans le bon ordre... Mais pour
le fun (ou pour la gloire ?), je les "valide" tout de même.
Et puis ça va beaucoup moins vite aussi... Je n'étais donc pas sûr
de pouvoir terminer avant la fatidique date butoir du 15 mars.
Et ô miracle cette date a été repoussée jusqu'au 31 ! Alors je ne
suis certes pas arrivé aux Sables, mais me voici de nouveau à l'île
de Heard, après plus de 2 mois de lutte virtuelle contre les
éléments (et un petit détour pour améliorer mon record sur 24h).

Allez, dans 4 ans je m'y prendrai plus tôt !

Efix81




 

31 Mar - Mediterranée .. par S'Alqueria


 

31 Mar - Mediterranée .. par S'Alqueria

 

" S'Alqueria" ne pouvais pas finir ce Vendée Globe sans passer par notre mére nourriciére, la Méditerranée ...Marseille pour saluer ses amis regatiers, ni par son port d'attache de Cadaqués et François - Cap hornier- qui as couru avec Tabarly !  Voilà..aprés quelques nuit de sommeil en suspension - comme beaucoup- S'Alqueria est arrivé à bon port aux Sables...j'ai fermé les yeux...j'entendais les Hourras..Maintenant il faut se réhabituer a la vie su terre ! Merci a Virtual Regatta et a tous les Capitaines avec lesquels des amitiés se sont noués grâce à ce jeu.




 

28 Mar - Les Glénan sont ou ? buzzetbee

Vendredi dernier je faisais cap vers les iles Glenan
vents de nordet prévus pour samedi matin, super je n ' avais
plus qu' a mettre le cap vers les sables !
Stupefaction, émotion, indignation !!!!!!
les Glénan ne sont pas sur la carte !
Moi qui pensais faire une escale chez Castric
pour déguster un homard et un ptit verre de blanc
Demi tour, je fouille dans mes cartes (environ 3 000)
elles y sont bien M...ince !
De mes jumelles intercybertik je vois Groix et Belle ile en mer,
p...urée toujours pas les glénan !!!
Et maintenant je fais quoi ?
Je tourne en carré et en triangle
pour faire un noeud papillon....




 

28 Mar - Le fantôme de DOUCE SIRENE

Oui, les sirènes existent … je vous l’ai déjà prouvé. Mais les pirates ? Tout le monde sait parfaitement qu’ils existent ces maudits truands … cependant, dans le virtuel, le saviez-vous ? Oui, les pirates existent bien. J’en suis une victime.

Je fais appel à toi, pirate de malheur, traître de la mer, qui, en usurpant mon nom, mon identité, mon voilier adoré, m’a transformé en un monstre tout noir errant au beau milieu du Pacifique, sans barreur ni équipier pour répondre à mes appels. Je lutterai pour récupérer mon bien si cher et lui redonner sa couleur d’origine. Qui que tu sois, Jack, Will ou Cap’taine Crochet …  je ne te crains pas. Montres-toi abominable personnage !  

A vous, sympathiques amis de course, grands marins virtuels, soyez vigilants et protégez bien votre petite coque à voile, afin que la mer ne se transforme pas en de milliers de petits points tout noirs. Qu’elle reste multicolore et scintillante jusqu’au 31 mars où s’effacerons virtuellement, les dernières voiles encore en mer, pour laisser place aux magnifiques souvenirs que nous garderons au fond de nos mémoires.




 

28 Mar - Solidarité et écologie sur le VG virtuel ...par Jack Sparrow

vous êtes cordialement invités à assister à l'arrivée vers 19 heures ce soir de Jack Parrow aux Sables d'Olonnes. Ce bateau qui était abandonné sur les cotes du Portugal à été récupéré pas le Skipper de Landiduy qui revenait d'un périple vers le canal de Suez et qui a eu pitié de l'épave échouée après la désinvolture de son skipper, occupé(e) on s'en doute à draguer l'Alex sauvage dans les bars de Quimper.

Les derniers bateaux se précipitent vers l'arrivée et il reste tout au long du parcours des orphelins de navigateurs que la direction de course pourrait peut être regrouper pour un rapatriement par cargo vers leur port d'origine.

Hervé

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